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L'accueil à l'installation d'Opera 9.

Des modèles masculins peuvent aussi être trouvés dans les pages Security et Easy switch.

Le plus intéressant, ce sont quand même les nouvelles fonctions qui augmentent encore cette suite Internet en augmentant sensiblement le poids du fichier à télécharger, particulièrement pour la version internationale (6,2 Mo). Bittorent (P2P) et les widgets s'ajoutent aux fonctions de navigation, courriel, lecteur de flux d'actu et client IRC d'Opera. Les widgets qui sont de petites applications qui peuvent être autonomes de l'application pour leur affichage (l'application principale doit être lancée). Elles ont fait leur apparition dans le dernier Google Desktop et existent depuis bien plus longtemps sur Mac. Yahoo! en propose avec un moteur véritablement autonome (après rachat de Konfabulator).

Le navigateur a aussi de véritables nouveautés avec un bloqueur de publicités, des miniatures au passage de la souris sur les étiquettes des onglets, un éditeur de code source intégré, un gestionnaire de préférences avancées (plus évolué que l'about:config des utilisateurs avancés de Firefox) et la création d'un mot-clé de recherche grâce à un item du menu contextuel des champs de recherche. En plus de la correction de nombreux bogues (dont un bogue CSS qui faisait différer les marges d'avec leur affichage dans Firefox et même dans IE 6), il est à noter l'inclusion d'un éditeur de préférences site par site. On peut ainsi y préciser le comportement face aux cookies (et les modifier), aux pop-ups, aux plugins, etc. On y précisera aussi les permissions des scripts JavaScript pour le site, l'envoi du référent, l'activation de la redirection automatique, l'ajout de sa propre feuille de style ou de JavaScript et l'identification du navigateur auprès des serveurs (qui est enfin Opera par défaut et plus Internet Explorer).