Les autres réactions (2 articles) à la censure sur ZDNet sont sous « Hadopi ».
]]>Le 15 janvier, le ministère de l'Ecologie et du Développement durable a perdu sa secrétaire d'Etat. Nathalie Kosciusko-Mozinet est mutée à l'Economie numérique.
Une parente peut-être :-D
]]>La présidence finlandaise, qui a fait de la transparence de l'UE l'un de ses principaux chevaux de bataille, ne propose pas de traduction pour les profanes.
A moins de parler… finnois. La version originale donne ceci : « latinankielen käyttö on myös kunnianosoitus eurooppalaiselle sivistykselle ja muistutus eurooppalaisen yhteiskunnan antiikkiin ulottuvista juurista ».
Ce qui peut se traduire de la façon suivante : « l'usage du latin tient lieu d'hommage à la civilisation européenne et de rappel des racines de la société européenne, qui remontent jusques aux temps de l'Antiquité classique ».
L'intérêt de la Finlande, pays de confession luthérienne, pour la langue officielle de l'Église catholique remonte à 1999, lors de sa première présidence européenne. (…)
Deux latinistes renommés, Reijo Pitkäranta et Tuomo Pekkanen, ont été chargés des versions. Ces universitaires sont à l'origine de ce qu'ils présentent comme la seule émission radiophonique d'informations en latin au monde, Radio Vatican mise à part. Créée en 1989 sur la radio publique Yle Radio 1, elle est désormais disponible sur internet (www.yleradio1.fi/nuntii*).
Malgré les explications rationalisantes officielles, je trouve à cette initiative un petit côté loufoque rafraîchissant. De plus sans le Web, ce genre de publications coûteraient trop cher. Ici, on a un coup pratiquement égal à zéro en plus de la passion d'une poignée d'universitaires. Conspectus rerum Latinus* est le premier bulletin mis en ligne.
De toute façon, même s'ils sont jaunes, je suis pour la libération des nains de jardin !
Réalisé sans trucage
]]>Les élèves ont expliqué que la vidéo pornographique se trouvait dans un dossier intitulé « Incitations spirituelles ».
Le professeur de catéchisme de 26 ans proteste de son innocence. Il est d'avis qu'il est victime d'une mauvaise blague.
Mais là où Yahoo! fait très fort, c'est qu'ils ont réussi à trouver une photographie du blagueur en pleine action. Regardez donc la photo mise en marge de cette article :
Commentaire sous la photo : Un évêque non identifié filme en vidéo au second plan alors qu'un cardinal discute, au cours du consistoire dirigé par le Pape Benoît XVI sur la place Saint-Pierre au Vatican (AP)
Comme c'est le week-end la bourde risque de ne pas être corrigée avant lundi. Heureusement que le premier paragraphe contredit explicitement le titre de l'article. C'est amusant, certains y voient même un lapsus révélateur…
MÀJ : le titre a été rétabli depuis lors et avec panache, puisqu'une mention « mis à jour » très visible a été apposée et un erratum expliquant la bourde publié en fin d'article. Cela change agréablement des rectifications l'air de rien qui sont le lot commun des sites d'actualités se disant sérieux.
Paul Sewell, chasseur de primes indépendant, explique qu'il signe ainsi les documents officiels car les fugitifs qu'il rattrape commencent toujours par s'exclamer « Oh mon Dieu ! » Trouvant cela drôle, ses collègues le surnomment « Dieu ».
Mais la loi de Pennsylvanie prévoit que le conducteur utilise sa signature habituelle sur son permis et que le ministère peut annuler le permis si le détenteur a fourni des informations incorrectes ou incomplètes.
Paul Sewell a fait appel auprès d'un tribunal du comté de Berks. « Je ne vois pas pourquoi ils annulent le permis de conduire que j'ai depuis l'âge de 16 ans alors que j'en ai 40 », a-t-il protesté. Et de signer son appel « Dieu ».
Il n'y a personne pour lui faire remarquer qu'on dit plutôt proférer des insultes ?
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