Pour vous empêcher de bloguer, il y a pire qu'une perte de connexion : une rage de dents ! Quand elle résiste aux antalgiques de toutes sortes, aussi bien oraux que locaux, ça empêche toute concentration. Et pourtant, j'ai plein de choses à lire et à écrire et pas seulement ici. Avec un rendement de trois lignes entre chaque attaque, je ne vais pas allez loin…

Cette torture n'a rien à voir avec les mauvaises vibrations qui parcourent le continent actuellement…