MozillaZine-fr publie :

Dans le cadre de l'effort communautaire actuelle pour diffuser les améliorations à attendre des futurs versions de Firefox et particulièrement de la prochaine version 1.1 annoncée pour juillet, MozillaZine-fr publie une traduction en français de la Feuille de route de Firefox 2.0 que le développeur en chef de Firefox, Ben Goodger, a mise à jour pour la fondation Mozilla au début du mois. Le document original et sa traduction sont sous licence Creative Commons : « Paternité – Partage des conditions initiales à l'identique 2.0 ». Vous pouvez en savoir plus sur cette licence, traduite officiellement en français, sur le site francophone de Creative Commons.

Comme le rappelait au début de l'année Blake Ross, un des inventeurs du concept original de Firefox, la première Roadmap de Phoenix, comme était alors nommé le navigateur léger, dessinait vraiment la route de Montain View en Californie où est basée la fondation Mozilla (alors c'était Netscape) à la ville de Phoenix en Arizona. Moins poétique, l'actuelle feuille de route appelée à être mise à jour régulièrement trouvera sa place dans la liste des nouveautés de Mozilla Firefox 1.1 et Mozilla Thunderbird 1.1 que nous avons lancée voici deux jours.

Comme je l'ai indiqué dans les commentaires de l'article de MozillaZine-fr à dc qui demandait pourquoi nous n'avions pas adopté la licence CeCILL – licence française de logiciel libre lancée par le CEA, le CNRS et l'INRIA :

Parce qu'on n'a pas le choix. Le document initial est, comme indiqué ci-dessus, « Share Alike ». Sans cela nous n'aurions d'ailleurs même pas pensé à placer cette unique traduction sous une quelconque licence (pour les articles MZ on n'est pas maître du copyright). Nous aurions demandé sa permission à l'auteur. Ici nous n'avons eu qu'à accepter l'offre de contrat contenue dans la licence affichée en bas du document. Pour bénéficier des avantages, il faut accepter les conditions. Aussi mignonne soit-elle, on ne pouvait adopter Cecill…

En effet le site Mozilla.org en entier est récemment passé sous la licence Creative Commons : « Paternité – Partage des conditions initiales à l'identique 2.0 ». C'est plus pratique pour les traductions de documentation dans la mesure où, légalement, il n'y a plus nécessité de demander d'autorisation préalable. On risque néanmoins de se marcher sur les pieds, si plusieurs traducteurs se lancent chacun dans son coin dans le même projet. Ce n'est pas très grave mais ça peut devenir frustrant et gâcher de l'énergie mieux employée ailleurs.